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ENTRETIEN. FC Nantes : « J’ai touché du doigt la problématique de la gouvernance », raconte Aristouy

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Pierre Aristouy était l’invité exceptionnel du podcast Sans contrôle mardi. L’ancien entraîneur du FC Nantes raconte les coulisses de son aventure sur le banc de l’équipe professionnelle, jusqu’à son licenciement fin novembre dernier par la direction. Interview.

Comment allez-vous déjà ?

Ça va. Mieux. Comme pour toute étape compliquée, il y a un temps pour digérer. Aujourd’hui ça va mieux. Il faut avancer.

Commençons par le début de votre aventure à Nantes. Le 9 mai 2023, vous basculez avec les pros. Comment se prend votre décision ?

La première réaction est une immense surprise. J’en profite pour souligner et mettre en avant la main tendue par Franck Kita (le directeur général délégué) ce jour-là. Le courage qu’il lui a fallu pour prendre cette décision-là qui était un peu couillue à ce moment-là. Il y a des enjeux importants et faire le choix de l’éducateur des U19 pour valider le maintien c’est assez courageux. De mon côté, c’est beaucoup de surprise, je ne m’y attends absolument pas. On est engagés avec les U19 dans une fin de saison qui doit nous permettre de valider la possibilité de jouer les phases finales et je ne pense qu’à ça.

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Avez-vous une hésitation par rapport à l’enjeu ?

Oui, il y a forcément à se questionner par rapport à tout ça. Est-ce que je peux le faire ? Est-ce que je suis crédible ? Est-ce que je ne me mets pas en danger ? Et en même temps, qui est capable de dire non à ce moment-là ? J’ai toujours dit que je faisais le max pour le FC Nantes. Si à ce moment-là on décide que c’est moi l’homme de la situation, je le prends en considération et on y va. Mais il y a forcément un questionnement.

Vous dites oui tout de suite ?

Non, il me laisse un délai de quelques heures. Je consulte mes proches uniquement.

Vous prenez ensuite le groupe pro en main ?

C’est complexe. Les premiers moments sont assez importants. Quand je pénètre dans le vestiaire ou la salle avec Franck (Kita) au contact du groupe pro, je ne les connais pas tous. Durant mes 4 années en réserve j’étais plus proche qu’avec les U19. Eux sont sur la fin d’une saison éreintante. Il faut de suite engager cette crédibilité, cette énergie et cet enthousiasme. Je n’ai pas trop le temps de le préparer, l’appel de Franck est le lundi à 19 h, et je rencontre les joueurs le mardi à 10 h.

Vous arrivez à vous maintenir finalement le samedi 3 juin. Avez-vous eu le temps de savourer ?

Non, même pas. Je n’ai pas eu le temps car j’étais à Paris dès 10 heures le lendemain à une réunion étonnante. Elle n’est pas prévue, je l’apprends le dimanche soir tard. Le lendemain je dois être à Paris. Dans le timing c’est étonnant, comme dans l’ambiance. On sort d’un moment depuis 48h où tout le monde a respiré, a été soulagé, heureux. Je me retrouve dans une réunion où finalement toute cette légèreté d’esprit a complètement disparu. Je sens une certaine lourdeur dans les échanges entre certaines personnes. Je ne m’attendais pas à ça.

La présence de Waldemar Kita change tout. Quand il est là, ça se réorganise. Ça vous refroidit ?

Je comprends que c’est le boss et voilà. Il a sa façon de fonctionner. Je découvre ce que je ne connaissais pas, à savoir les relations entre les personnes à ce moment-là, toute la lourdeur des décisions à prendre. Je ne vois pas exactement Franck Kita de la même manière que quand il était avec moi. La réunion a été étonnante parce qu’avant même que l’on évoque mon cas, il est rapidement question de la saison prochaine et du recrutement… Mais est-ce que je dois y prendre part ? Est-ce que je dois donner mon avis ? Je ne sais pas. On parle du recrutement avant qu’à un moment une phrase soit lancée : « Bon bah de toute façon tu continues »… « bah je ne sais pas, faut voir… ».

« Il y a les choix validés et les choix voulus. Il y a des joueurs que je voulais qui ne sont pas venus »

Il y a le cas de Mostafa Mohamed. Finalement, l’option de 6,5 millions d’euros est validée…

Ça a été un sujet qui est resté très présent durant les moments où j’étais entraîneur de cette équipe. Beaucoup de choses ont été dites, beaucoup fausses ou en partie incomplètes, par rapport à ma relation avec Mostafa, à ce que je pense du joueur et par rapport à une stratégie de recrutement et des moyens de recrutement, des profils de joueurs que je souhaite notamment sur la ligne d’attaque. Il n’a jamais été question pour moi de dire “Mostafa je n’en veux pas”. Maintenant s’est posée la question d’un certain investissement (financier). Il faut lever une option d’achat importante. Je n’ai absolument aucun problème à le garder, il a de l’expérience, il marque des buts, il est important. Mais à ce moment-là, je considère qu’il manque un profil différent. Ça ne remet pas en question la volonté de la direction de lever l’option d’achat, et ça ne remet pas en question, et je l’ai prouvé, ma capacité à jouer avec lui en attaque.

Avez-vous toujours été consulté pendant le mercato ?

Il y a les choix validés et les choix voulus. Il y a des joueurs que je voulais qui ne sont pas venus. Derrière, il y a plein de considérations à prendre. Mais j’ai donné pas mal de noms, je me suis entretenu avec pas mal de joueurs au téléphone qui ne sont pas venus. J’ai eu Tosin, j’ai eu le capitaine Messin Udol, il y en a eu quelques-uns, un milieu de terrain de Galatasaray. J’ai échangé avec pas mal de joueurs. On m’a aussi proposé beaucoup de profils. J’ai beaucoup dit non. À un moment il fallait aussi renforcer l’équipe, au moins quantitativement. J’ai quelques regrets de ne pas avoir été suffisamment impactant quant aux choix définitifs. Avec le recul je me rends compte que c’est une étape primordiale dans une saison. La construction de ton équipe est importantissime. À ce moment-là, de par cette satisfaction d’avoir été renouvelé, je n’ai pas été suffisamment décisionnaire ou impactant.

Y a-t-il une absence de fluidité au FCN en matière de mercato ?

Clairement. Il y a beaucoup d’intermédiaires, beaucoup de communication à avoir, parfois avec des avis différents. Cela complexifie un peu la fluidité et la cohérence d’un mercato. J’ai eu la sensation que le mercato tardif devenait des cases à remplir, des postes à pourvoir. Je pense que la première chose à faire quand on entreprend de modifier une équipe c’est d’être en accord total avec la volonté de jeu de l’entraîneur et une certaine cohérence entre les profils recrutés. On ne peut pas partir sur un recrutement qui n’a ni queue ni tête avec des joueurs proches sur le terrain et qui n’ont pas la même affinité de jeu ou ne vont pas se comprendre.

« A partir du moment où derrière à l’intérieur de tout ça il y a des gens qui vont faire en sorte que ça se casse la gueule…»

Il vous a été aussi reproché de manquer d’un adjoint très expérimenté (Alain Pochat était son adjoint) ?

Oui, ça manquait peut-être d’expérience. Mais à partir du moment où derrière à l’intérieur de tout ça il y a des gens qui vont faire en sorte que ça se casse la gueule… Si ça s’était très bien passé, avec une adhésion totale, et une honnêteté totale de tout le monde. L’expérience vient aussi en accumulant le temps et les matchs. Jocelyn Gourvennec, même s’il a évidemment une expérience de la Ligue 1, faisait faire ses entraînements à quelqu’un qui est arrivé de la réserve de Saint-Brieuc. C’est toujours reproché après coup.

Avant même le premier match de championnat contre Toulouse, il y a un climat de défiance assez fort vis-à-vis de vous…

Là, on touche du doigt toute la problématique de la gouvernance et de la cohérence. Quand on s’engage sur un choix – et j’ai reconnu à Franck Kita d’avoir été courageux et d’avoir assumé sur les derniers matchs de la saison précédente -, par la suite, on ne peut pas faire signer un contrat de deux ans à quelqu’un et douter de lui très vite. Même après les matchs de préparation, tout se sait. La problématique va plus loin. il y a cette défiance ambiante, que l’on ressent. Et ce qui se lit et ce qui s’écrit. Je considère que vous avez fait partie (les médias) des quelques personnes qui ont fragilisé ma position par rapport au vestiaire. Les joueurs de foot sont des gens qui sont très malins, versatiles, qui lisent, écoutent, entendent. Et pour peu que la situation devienne plus compliquée à un moment en termes de jeu pour eux, vont s’engouffrer sur ce qui tend à être une vérité dans les médias. Je pense qu’il y a une part de leur comportement, de leurs attitudes qui vient aussi de ça.

Vous êtes vous rendu compte que c’était plus difficile, ou différent, de manager un Moussa Sissoko, ex-international, un Nicolas Pallois de 36 ans, qu’un joueur plus jeune ?

C’est certainement là que j’ai fait des erreurs dans le management. Vous évoquez deux profils de joueurs avec beaucoup d’expérience et de formidables carrières. Là où j’ai fait l’erreur, notamment avec Nicolas Pallois, c’est que je n’ai sûrement pas suffisamment communiqué avec lui. Il était capable d’entendre, de comprendre des choses, et je n’ai peut-être pas suffisamment pris le temps de passer du temps à communiquer mes choix, et mes raisons. J’ai passé plus de temps avec les leaders techniques, du jeu, de terrain qu’avec les leaders de vestiaires. À ce moment-là, peut-être juste de manière passionnée et naïve, pour moi le plus important est le terrain. Mais c’est peut-être une de mes erreurs.

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Il y a le cas de la recrue du président Kita : Adson. Sentez-vous qu’il est plutôt préférable de le mettre sur le terrain ?

Ça vient correspondre avec tout ce que je dis depuis tout à l’heure. Je ressens vite que si ça se passe mal, et qu’untel ou untel ne sont pas sur le terrain, ça peut se passer très mal. Je ne le consulte pas, mais on me fait comprendre pour lui, comme pour d’autres joueurs par la suite, que si j’hésite, il ne faut pas hésiter longtemps.

Entre septembre et octobre, vous faites 4 victoires en 5 rencontres. Avez-vous eu l’impression que la greffe prenait ?

Oui, il y a plein de choses positives qui se créent à ce moment-là. Le match de Strasbourg, celui de Montpellier aussi. Pour avoir joué contre Montpellier en fin de saison dernière et avoir pris une déculottée (0-3) à domicile, la performance ce jour-là était peut-être moins flamboyante que celle contre Lorient, moins aboutie que face à Strasbourg, mais elle reste maîtrisée. Ce sont des moments intéressants, la référence étant pour moi le match à Strasbourg où dans le jeu et la mainmise sur le terrain, on n’était pas loin de quelque chose de référence.

Puis, le 12 novembre, vous subissez une 3e défaite à Metz (3-1)…

C’est la troisième défaite de suite. Mais si on considère qu’au FC Nantes concéder trois défaites consécutives dont deux à l’extérieur, est un drame, c’est qu’on n’a pas bien observé ce qu’il se passe depuis des années. Néanmoins, j’en tire quand même des enseignements, et j’assume mes responsabilités de ces trois revers. C’est peut-être ce qui m’emmène aussi à jouer un petit peu plus contre-nature contre Le Havre (nul 0-0 qui provoque son licenciement).

« Lors des entretiens, j’ai senti qu’il y a eu une incompréhension avec certains. Moussa Sissoko me dit que je lui manque de respect de ne pas avoir été honnête avec lui »

Est-ce que vous ressentez que certains joueurs vous ont lâché ?

Moi, je n’en sais rien. Lors des entretiens, j’ai senti qu’il y a eu une incompréhension avec certains. Moussa Sissoko me dit que je lui manque de respect de ne pas avoir été honnête avec lui. Mais en début de saison, je lui ai dit que je ne comptais pas sur lui comme un élément indispensable. Je partais avec la volonté de faire jouer Augusto et Chirivella.

Vous ne rassuriez pas la direction visiblement…

Oui, mais parce que, encore une fois, chacun a sa façon de fonctionner. Il n’y a pas seulement le management autoritariste qui fonctionne. Il y a d’autres formes de management qui peuvent fonctionner, à condition que ce soit validé et cohérent avec toutes les entités autour de soi.

Vous avez pris 1,15 point par match, c’est mieux que Jocelyn Gourvennec (0,77) et Antoine Kombouaré (1). Est-ce une petite satisfaction de ne pas avoir été si mal finalement avec cette équipe ?

Non, je ne me compare absolument pas à ce qu’ils ont fait par la suite. La seule chose que je pense profondément est que la moyenne de points par match aurait été supérieure sur la suite de la saison si on m’avait laissé procéder à quelques ajustements. Je pense, parce qu’il faut du temps, des joueurs qui peuvent le traduire sur le terrain que la problématique de prendre trop de buts aurait été améliorée. En tout cas, je travaillais dans ce sens-là, sans perdre l’ADN de cette équipe sur la durée de la saison.

Vous étiez un ancien formateur de la Jonelière. Beaucoup ont été déçus car vous n’avez pas semblé misé sur les jeunes du centre. L’entendez-vous ça ?

Je n’ai jamais menti. Dès les premières conférences de presse. Je n’ai jamais fait fantasmer les gens par rapport à ça. J’ai dit que j’avais une préoccupation majeure du centre de formation et de la passerelle qui devait se faire avec les pros mais je n’ai jamais dit qu’il y aurait pléthore de jeunes joueurs et notamment dès le départ. Parce que j’estimais encore une fois qu’il fallait leur créer cet espace et, dans un deuxième temps, maîtriser cette progressivité.

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Pierre Aristouy et toute l’équipe de Sans Contrôle. | OF
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Pierre Aristouy et toute l’équipe de Sans Contrôle. | OF

Pourquoi parfois en fin de match privilégier un Pallois plutôt qu’un Zézé. C’est semble-t-il ça aussi qui vous a été reproché…

On a évoqué les joueurs expérimentés tout à l’heure, c’est maîtriser le vestiaire. Peut-être qu’avec le recul, l’impact de faire jouer même cinq minutes un jeune joueur, aurait eu plus d’éléments positifs pour la suite que de faire jouer un garçon expérimenté cinq minutes qui peut le prendre même comme une sanction.

Pourquoi la formation nantaise est souvent en conflits avec les coachs pros ?

Je ne suis pas là pour juger les relations entre tous ces gens-là. Moi, ce que je peux vous dire c’est que j’ai été entraîneur pendant 4 ans de l’équipe réserve et j’ai dû être en relation avec 7 ou 8 entraîneurs de l’équipe première. De Ranieri à Halilhodzic en passant par Domenech, Gourcuff… Je n’ai pas la sensation d’avoir eu des problèmes majeurs avec ces personnes-là. On était dans une relation plutôt saine, parfois avec des incompréhensions mais que je me gardais bien d’exprimer., parfois avec plus d’affinités avec certains, par exemple Christian Gourcuff qui avait validé ce que je disais sur Imran Louza et Randal Kolo Muani. Tout ça pour dire que ce n’est pas impossible de bien fonctionner.

De manière générale, avez-vous plus cherché à préserver votre place plutôt qu’à suivre vos convictions ?

Si j’avais voulu coûte que coûte préserver ma place, je n’aurais pas essayé de développer le football que j’ai proposé, qui ne plaisait pas à tout le monde.

Comment expliquez-vous la formidable image que semblent garder les supporters nantais de vous ?

J’ai joui de façon assez surprenante de cet enthousiasme que je continue à constater par moments auprès des gens que je peux croiser. Cela fait toujours chaud au cœur. J’ai toujours dit que je le trouvais un peu exagéré. J’ai toujours été dans la mesure par rapport à ça car je sais que comptablement je n’étais pas sur un bilan exceptionnel.

« C’est encore assez flou pour être honnête. J’ai été assez marqué par tout ça. Aujourd’hui, il y a beaucoup d’interrogations encore sur mon avenir »

Comment réagissez-vous lorsqu’un matin on vous annonce fin novembre que tout est fini ?

Il y a une forme de rupture. Un peu ressentie la veille au soir. Une certaine violence quand même, il est 7 h 30, on va pour travailler et une demi-heure après on est à la maison, il n’y a plus personne à la maison, tout le monde est au travail, à l’école, et on se demande ce qu’on fait là. C’est violent. Comme j’aime en plaisanter, les anciens disent que la période hivernale n’est pas la meilleure période pour partir à la retraite, mais ce n’est pas la meilleure période non plus pour être écarté d’un poste d’entraîneur.

Vous soulignez le problème global de gouvernance au FCN. D’autres entraîneurs l’ont fait avant vous. Pourquoi avez-vous accepté ce défi alors car vous étiez au courant des difficultés ?

On sait comment ça se passe mais je vous mets au défi de prendre quelqu’un avec mon parcours et qui, au moment de la proposition de Franck Kita, va lui dire : “Ta gestion est dégueulasse, je n’y vais pas”. Je vais refuser une possibilité d’entraîner au plus haut niveau, de passer mon BEPF, potentiellement derrière de lancer une carrière d’entraîneur professionnel ?

Aujourd’hui, avec le recul, le jeu en valait-il la chandelle ? Regrettez-vous aujourd’hui d’avoir tenté l’aventure ?

Je n’ai pas de regrets car cette décision m’a amené à redécouvrir ce milieu-là. À apprendre beaucoup de choses que je ne maîtrisais pas et que je suis capable aujourd’hui de maîtriser un petit peu plus. Et aussi d’avoir vécu des moments extraordinaires et rencontré des personnes de grande classe dans le milieu professionnel. Et pour tout ça, je n’ai pas envie de le regretter. Après, il est clair qu’aujourd’hui je serais certainement bien au chaud si je ne m’étais pas exposé autant. Mais je ne peux pas regretter ça, c’est impossible.

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Comment avez-vous réagi quand vous avez appris que Kombouaré revenait au FCN ?

Je me prépare à nouveau (rires) ! J’ai beaucoup de respect pour Antoine, pour sa carrière de coach. Et puis pour l’homme, c’est quelqu’un qui a sa personnalité forte mais il a aussi fait preuve avec moi de beaucoup de sympathie et de bienveillance.

Savez-vous de quoi va être fait votre avenir ?

C’est encore assez flou pour être honnête. J’ai été assez marqué par tout ça. Aujourd’hui, il y a beaucoup d’interrogations encore. Parfois, on fait des choix dans la vie par rapport à des opportunités, des choses ou des gens qui vous inspirent ou des projets qui vous parlent. C’est comme ça que je fonctionne moi, en essayant d’avoir ce ressenti et ce feeling. Des propositions me viennent dans le monde du football, des possibilités qui peuvent me venir aussi dans d’autres domaines que le foot. Pour l’instant, il n’y a pas de décision de prise.

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