C’est à l’aune de la réussite que l’on mesure le chemin parcouru. Celui de Julien Gaborieau a épousé la trajectoire du Marathon de Nantes il y a dix-huit ans. « J’ai grandi avec, explique le responsable d’OC Sport Ouest. Tout d’abord avec le FC Nantes Événements pendant 8 ans puis avec Sport Ouest avant de fusionner avec OC Sport il y a deux ans. J’ai suivi toute l’évolution du marathon et l’engouement pour les courses sur route. »
Depuis, la petite entreprise a bien grandi. Jusqu’à dénombrer 18 700 inscrits ce week-end à Nantes. « On est la section Ouest de la France de la société OC Sport. Le siège est à Genève, l’actionnaire principal est le Télégramme. Le but est de piloter les événements depuis la région, être au plus près du terrain. »
L’équipe de Julien Gaborieau est composée de trois autres permanents que sont Amélie Boileau (communication), Chloé Limouzin (partenaires et bénévoles) et Julian Jonfal (logistique, parcours). « On a aussi deux personnes en alternance, Lily et Aurélie, poursuit-il. Nantes, ça nous tient à cœur. On court tous à pied, c’est un rendez-vous qui nous fait vibrer et on y met toute notre énergie. »
Marathon de la Côte d’Amour au programme
Ce n’est plus le seul événement à leur calendrier. Organisateur des Foulées des Géants depuis 2018 au Puy du Fou, – « on a 10 000 inscrits pour la 5e édition le 5 octobre » -, OC Sport Ouest a remis au goût du jour le Marathon de la Côte d’Amour, programmé à La Baule et alentours les 2 et 3 novembre prochains. D’ores et déjà un succès pour cette édition du renouveau.
« C’est un cas d’école car on a déjà 7 880 engagés sur un objectif de 8 000. Il y a une vraie demande. C’est quasiment du jamais vu pour une nouvelle épreuve. On en a fait la promotion lors du marathon de Paris, les retours ont été très positifs. »
Malgré tout, l’équilibre financier reste fragile. « C’est un modèle courant dans le monde de l’événementiel. Pour Nantes, notre budget consolidé avec Courir à Nantes (co-organisateur) oscille entre 850 000 et 880 000 € TTC. Entre 25 et 30 % de partenariat privé, de 6 à 7 % d’aides publiques et de 65 à 70 % issus des inscriptions. On ne dépend pas que des subventions, même si tu stresses moins quand tu en as plus car nos contrats de partenariat privé ne portent que sur un an. » D’où l’intérêt de se diversifier, ce qu’OC Sport Ouest s’évertue à mettre en place, sans brûler les étapes.
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